La traversée du Mozambique par temps calme
Editions du Seuil, Fiction&Cie
2008
Le Mot de l'éditeur : "La traversée du Mozambique par temps calme"
Un archéologue à la retraite, accompagné de quatre aventuriers, part à la découverte d’une cité inca ensevelie dans la jungle du Pérou. Mais rien ne se passe tout à fait comme prévu. Les détours et les rebondissements sont nombreux avant de toucher au but.
Belalcazar, un archéologue à la retraite obsédé par l’or, embarque pour le Pérou en compagnie de quatre aventuriers : ils vont chercher le trésor d’une ville secrète nommée Païtiti. D’après la légende, elle dissimulerait l’or de toutes les cités incas réunies.
Cap sur l’Amérique latine, où les attendra Sophie, chargée de les guider dans la jungle péruvienne. Seulement, rien ne se passe comme ils l’avaient imaginé, tout se détraque. Des nuées de méduses les ralentissent ; une terrible canicule précède l’énorme tempête qui menace de les faire couler à pic. Un matin, ils se retrouvent au milieu de la banquise et de ses froids polaires. Après une longue étape, ils repartent, empruntent un improbable raccourci par le centre de la terre et débouchent au beau milieu de la forêt tropicale. Les péripéties et les dangers s’enchaînent, la technologie la plus avancée surgit dans des paysages primitifs, on flotte dans le temps et se laisse emporter par la fantaisie débridée de l’auteur qui se joue des codes du roman d’aventure pour atteindre finalement au conte philosophique. Est-on riche quand l’or coule à flot et que tout le monde peut en obtenir autant qu’il veut ? Que faire, quand on est parvenu à Païtiti ?
Un roman à rebondissements, où le lecteur va de surprise en surprise, et qui, au sens fort du terme, laisse rêveur.